Pourquoi débuter un accompagnement en activité physique adaptée ?

Pourquoi débuter un accompagnement en activité physique adaptée ?

• 21/02/2022

Pour gagner en autonomie et par conséquent pouvoir continuer de faire ce qu’il vous plaît,

Pour bénéficier d’une expertise en activité physique adaptée,

Pour un accompagnement thérapeutique sur mesure (conception, conduite et évaluation),

Pour utiliser l’activité physique comme vecteur de santé globale,

Pour bénéficier d’attention dans un accompagnement ou l’on prend le temps,

Pour avoir le choix de pratiquer directement chez soi ou en cabinet,

Pour un suivit de qualité basé sur les dernière avancées scientifiques,

Pour devenir acteur de sa santé,

Pour un parcours de soin en APA cohérent. L’Enseignant APA facilite les liens entre les milieux médico-sociaux, paramédicaux et le monde associatif et sportif,

Pour réduire les méfaits de la sédentarité et de l’inactivité physique sur la santé,

Pour une réduction de la prise de médicaments et les hospitalisations,

Pour reculer l’entrée dans une maison de retraite et donc préserver le maintien à domicile,

Pour rompre l’isolement,

Pour reprendre le contrôle de son corps

Pour une action favorable sur les maladies neurocognitive : stimulation de la mémoire, du langage, de l’orientation, de la planification des tâches motrice, de la coordination, du temps de réaction, du raisonnement… Une pratique régulière d’une APA à de nombreux actions bénéfiques sur la maladie d’Alzheimer, de Parkinson, à corps de Lewis, des dégénérescences fronto-temporal, huntington, AVC, Charcot, Creutzfeldt-Jakob, Sclérose en plaques...

Pour un équilibre mental : agir sur le moral, stabiliser l’humeur, réduire la fatigue, améliorer le dynamisme, optimiser la prise d’initiative. Agir sur la dépression légère à modérée. Une pratique régulière de l’APA est conseillée dans le traitement de l’anxiété, de comportements addictifs, de troubles bipolaires, psychotiques, schizophréniques, autistiques… Pour exemple, la HAS préconise de prescrire une APA en première intention pour le syndrome léger à modéré de la dépression.

Pour gagner ou maintenir les capacités physiques : souplesse, vitesse, agilité, dextérité, force musculaire, équilibre.

Pour prévenir ou stabiliser les maladies cardiaques et vasculaires : antécédent d’infarctus, de phlébite ou d’embolie pulmonaire, Arythmie cardiaque, hypercholestérolémie, hypertension artérielle, insuffisance cardiaque, insuffisance veineuse. Pour exemple, la HAS préconise de prescrire une APA en première intention pour l’Artérite/Artériopathie oblitérante des membres inférieurs.

Pour combattre le cancer : réduire la fatigue, améliorer la qualité de vie, le dynamisme, l’adhésion aux traitements médicamenteux... une action favorable pour les cancers du sein, de l’endomètre, de la prostate et du colon a été répertoriée dans la littérature scientifique.

Pour une action favorable sur les maladies hormonales : la HAS préconise de prescrire une APA en première intention pour le diabète de type 2 et l’obésité.

Pour mieux vivre avec une maladie respiratoire : Asthme,  Bronchite chronique, Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive (BPCO).

Pour réduire les douleurs liées aux maladies rhumatologiques : Arthrose, cervicalgie dorsalgie, lombalgie, hernie discal, fibromyalgie, sciatique, ostéoporose, polyarthrite rhumatoïde…